"Lâchez ça ! ". Je me retourne. Le grand brun à la queue-de-cheval, accompagné d’une armoire à glace chauve, me tiennent en joue. Le vieux O’HARA est au sol. Pas de sang. Il faut faire vite. Je lance le sac dans une direction et me jette derrière les casiers. Mon Beretta est bien à sa place. Je dégaine. Une roulade, qui me rappelle que je sors à peine de l’hosto. Je fais feu quatre fois. Deux font mouches. Le sosie de Kojak tombe au sol, mais le grand brun riposte. Ça passe tout près. Une détonation, je n’ai pas tiré, et vu le visage de "queue-de-cheval", ce n’est pas lui. Un filet de sang lui sort de la bouche. Il tombe. Derrière lui, le toubib et deux hommes en imperméable noir. Les Féd’s. Bienvenue, la cavalerie ! Aïe ! Mes côtes me font mal.